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25 septembre 2014

La Fessée en Vacances 13 - Suite et Fin

Malgré la crainte -bien réelle pourtant- qu'elle avait d'une fessée aux orties dont je la menaçais souvent, Mademoiselle m'avait indiqué l'endroit, proche de notre résidence, où l'on pouvait trouver à profusion ces vertes urticacées, ainsi que je le relate dans mon post précédent. (1) L'expression : "donner les verges pour se faire battre" s'illustre ici dans son sens le plus concret !...

Elle n'ignorait point que j'en ferais usage si elle le méritait par son attitude à mon égard. Il lui suffisait de se montrer une excellente nièce pour échapper à ce châtiment qui l'effrayait si fort. Eh bien, vous allez vous ébaubir, mais elle n'en fit rien !...
Elle se montra capricieuse, agaçante ; cela dura deux jours. Je la menaçai souvent de cette punition qu'elle n'avait jamais encore subie et qu'elle redoutait tant. Mes avertissements avaient d'autant plus de poids que les éléments punitifs se trouvaient à proximité, et que je tiens généralement mes promesses.

 Vains efforts diplomatiques de ma part. Mademoiselle poursuivit dans l'insolence et l'horripilation. Je lui annonçai donc solennellement qu'elle serait fessée aux orties. J'eus droit aux habituels : "même pas vrai", "d'abord j'ai rien fait", avec une apparente insouciance. Toutes  ces affirmations qui me provoquent des démangeaisons dans la paume, comme si j'étais allergique à certaines formules.

Le lendemain vers 10h, alors que Mademoiselle était à ses occupations à l'extérieur, une fois ingurgité mon café-croissant et raboté de près ma barbe de trois jours, je descendis la rue principale sur deux-cents mètres, et pris sur la droite vers le petit parking bucolique.
Elles étaient là, resplendissantes dans le soleil matinal, encore gouttelantes de rosée... J'enfilai un gant en latex et je cueillis deux belles tiges aux larges feuilles dentelées, que je glissai dans un vieux sac du BHV. Deux tiges, oui, pas le bouquet fourni dont on parle dans les livres. Enfin, dans certains livres... (2).

Revenu au gîte, je mis ma cueillette dans un petit vase empli d'eau.
"Comme c'est Joliiii !..." Minauda humoristiquement Fraise en revenant. Mais je savais que la présence désormais effective de ces plantes ne la laissait pas de marbre.

Ce jour décisif me vit hélas incapable de mettre la sentence à exécution pour des raisons pratiques, mais je jurai en crachant par terre et au nom de la croix de bois et de la croix de St-André en fer, que la punition aurait lieu dès le lendemain. Quoi qu'il arrive.
"Pas possible !", affirma Fraise ; j'ai rendez-vous demain matin, et puis après on va déjeuner à "l'Auberge de la Croix de Fer" (Tieeens !...) "j'ai réservé pour 13h", et gna gna gna.
 
J'avais mis mes jolies plantes sur le balcon pour la nuit, et le lendemain, elles étaient encore quasi-fraîches. Mais je sais d'expérience que l'ortie n'est jamais aussi efficace que lorsqu'elle vient d'être cueillie. Et, naturellement, quand on la cueille au printemps, comme le fait justement remarquer mon amie Manioc, qui s'y connait.
Je prévins : "Vous allez revenir vers midi. Vous recevrez la punition promise et bien trop différée. Cette fois, le moment est venu".
Je vous passe les récriminations d'usage dont Mademoiselle m'abreuva...

Quand Fraise arriva, souriante et faussement décontractée, je coupai court à ses démonstrations aimables. Il était temps de payer ses fautes. Et de goûter aux orties, grande première punitive !...

Orties-(1)

Sans plus prendre garde à ses protestations et à ses fausses excuses, je retroussai mademoiselle, et dévoilai les aimables rondeurs promises à ma sévérité.

 

Orties-(2)

Je la fis se pencher et poser ses mains sur le petit tabouret. Devant son affolement, je pris la précaution de la menotter, n'ayant pas envie qu'elle mît ses mains où il ne fallait pas pendant la punition, au risque de se faire piquer. Les doigts...

 

Orties-(3)

Pendant le temps -fort bref- où j'allai tirer de son vase la première tige d'ortie, Fraise s'était tournée, comme si elle pouvait aller loin comme ça, et se soustraire à sa punition inéluctable...

 

Orties-(4)

Je lui ordonnai sèchement de se remettre dans la position où je voulais la voir, sans résultat. "Je ne veux pas !... J'ai peur !..." Gémissait la mignonne.

 

Orties-(6)

Loin de m'appitoyer, ces jérémiades accrurent mon agacement. J'encerclai le taille de Mademoiselle et la replaçai comme il faut. Je commençai à balayer les fesses de ma punie à légers mouvements, comme on passe un plumeau. Elle tortillait des hanches en couinant, mais je la maintenais fermement.

 

Orties-(7)

Après quelques instants, les manifestations de Fraise me semblant s'atténuer, je pensai que mon plumeau était usé...

 

Orties-(8)

Et j'allai chercher la seconde tige.

 

Orties-(9)

Cette fois, j'abandonnai le balayage, et fouettai carrément la croupe mouvante. Bien plus efficace !... Mademoiselle me régala d'un concert vocal qui attestait de l'efficacité de la punition...

Je ne poursuivis pas trop longtemps, et je libérai Mademoiselle. Enfin, des orties...

 

Orties-(10)

Estimant qu'elle n'avait pas supporté sa correction avec la docilité voulue et dont elle fait preuve d'habitude, je condamnai Fraise à un supplément de vingt-cinq coups de verge de noisetier. Nous restions écolo...

 

Orties-(11)

La punition terminée, j'autorisai -assez exceptionnellement- Mademoiselle à remettre une culotte. Mais ce n'était point tolérance de ma part... Une culotte, même légère, entretient assez efficacement la cuisson due aux orties !...

Et la sensation dure plusieurs heures... D'abord, ça pique et ça brûle. La station assise attise naturellement l'effet. Ensuite, ça évolue. Ça chauffe...  Le restaurant (excellent) se trouvait à quelques kilomètres du village, et le trajet en voiture fut très profitable à Mademoiselle... Le déjeuner aussi, d'ailleurs !... Elle ressentait nettement les effets de sa fessée, mais fut tout de même contente de ne pas avoir dû manger debout, ou à genoux devant l'assiette...

Mademoiselle avait pu apprécier tous les bienfaits de cette punition nouvelle pour elle, et je sais que cette première ne sera pas la dernière. Selon les caprices de la botanique, naturellement...

Au retour, il me fallut bien faire taire les récriminations de Mademoiselle Fraise, qui ne cessait de me reprocher la "cruauté" du châtiment qu'elle avait subi, et la journée se termina par une fessée à la main des plus classiques mais ferme, suivie de bonnes cinglées aux souples verges de saule. Eh bien, on en apprend tous les jours : cette nouvelle correction termina d'effacer les effets de la première... Ce qui s'appelle boucler la boucle !...




(1) Post qui a généré un très grand nombre de visiteurs, mais bien bien peu de commentaires... Les lurkers sont en pleine forme !...
 
(2) Dans la collection des "Orties Blanches", la seule variété qui ne pique pas !...

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Commentaires
J
Beau texte, drôle et superbement écrit, le sujet est diablement erotissant rehausse par des photos explicites mais purée aie aie aux orties, c est terriblement pervers et ne veux pas imaginer la douleur.......<br /> <br /> Bises sur la fesse gauche de Jacqueline
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J
bonjour waldo oui dans ma jeunesse j" ai malheureusement eu la malchance de tombé dans un bouquet d'orties ; j'ai trouvé la douleur vraiment méchante !! donc sur les fésses je ne suis pas d'accord pour une punition de ce genre !!<br /> <br /> amicalement Jacqueline
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W
En effet, une amie s'est étonnée de mon étonnement, et m'a expliqué l'érotisme des manches retroussées.... Merci de confirmer.<br /> <br /> J'ai évidemment testé les orties, il y a déjà longtemps, Et quand j'étais moutard, en culottes courtes, dans un environnement banlieusard de terrains vagues, je vous dis pas ce qu'on en prenait plein les mollets... Mais le mollet n'est pas vraiment une zone érogène. Pas chez moi, en tout cas.
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M
En fait, quand je revois ces photos, je me redis que : <br /> <br /> - Ces couleurs sont superbes, <br /> <br /> - Fraise est à croquer, <br /> <br /> - je kiffe les manches de votre chemise, <br /> <br /> ET que je n'aime pas du tout ce gant en latex, ça casse tout !!!
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F
Et un traitement aux chardons...? non ?
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