Interlude
On a pas toujours quelque chose à dire, quelque chose à raconter. Ou pas envie, tout simplement.
C'est le problème de tous les chroniqueurs, romanciers, et autres rigolos qui travaillent avec leur tête, et se doivent d'intéresser un public avide de leur prose.
En février dernier, waldoblog a soigneusement évité de fêter ses cinq années d'existence. Je déteste les fêtes et les anniversaires, je n'allais pas faire exception pour celui-là. Mais cinq ans, ça représente quand même pas mal de travail. Trouver des idées, des images, développer des sujets -même si le principal reste la fesse et la fessée- Et réaliser, recalibrer les photos, se documenter, bref, si on veut faire un truc plaisant et un peu sérieux pour les amis qui fréquentent les lieux- parce que oui, je considère mes habitués comme des amis-, ça demande de l'attention et de la réflexion. Donc du temps.
A l'avenir -puisque je n'ai pas encore mis la clé sous la porte-, plutôt que de laisser des pages vacantes plus ou moins longtemps entre deux sujets un peu élaborés- je posterai des images. Des images diverses, amusantes, cochonnes ou pas, avec ou sans légende. Des textes aussi, pourquoi pas ?...
Ça commence aujourd'hui. On dira "Interlude". J'espère que cela vous plaira, because c'est comme ça et pas autrement.
Je vous aime.
Waldo
Encore un peu de sport...
En voilà une qui a gagné sa journée... Une déculottée devant tout le stade me semblerait plaisante et justifiée... Successsivement, par les quatre mecs dont cette aimable gourde vient de flinguer la performance...
La Vierge Marie existe, je l'ai rencontrée !... J'en ai encore le goût sur les lèvres...
Si je connaissais l'auteur je vous donnerais son nom. Superbe sculpture !...
Merdalors !... Un Waldo dégotté sur le web.
Le croquis préparatoire doit se trouver dans une collection particulière, il me semble...
Vive le bio !...
Dessinateur ?... J'attends.
Le dessinateur Lassalvy m'a plié, et (même) excité depuis ma prime enfance, quand il était publié dans France Dimanche, entre autres canards populaciers dans les années 60...
Bon, ça ira pour ce soir, j'ai à faire. Ciao.