Naviguer aux instruments...
Dans les jeux de fessée, chacun a ses préférences, c'est bien normal.
A la main ou avec instruments ?... D'aucuns ne jurent que par la mimine.
Fessée d'amants, d'amoureux, surtout prélude à des ébats horizontaux...
Certains apprécient, pour fesser une fille, qu' elle porte jupette écossaise et couettes juvéniles...
J'ai même un ami Catalan pour qui il est hors de question de fesser une dame qui porte une culotte blanche, ça le démotive totalement !...
Etonnant, non ?...
Rien à priori ne me dérange en ce domaine.
La fessée manuelle, j'adore, ça va de soi; c'est généralement ainsi que je commence.
La main, c'est le premier instrument contondant ( le poing ) ou cinglant ( la main ouverte ) que l'homme ait employé pour filer un cocard à son voisin ou pour fesser sa femme et sa progéniture.
C'est évident mais on ne le répètera jamais assez : l'intérêt principal d'une correction à la main, c'est de mettre en contact la paume du punisseur et le postérieur de la punie. Ca crée des liens, ou tout au moins une certaine connivence...
Surtout s'il s'agit d'une première fois, l'émotion est au rendez-vous.
Sur un plan plus technique, une bonne claquée à la main prépare la consentante victime à poursuivre par une fessée plus appuyée, au martinet ou à la badine, par exemple.
Vive la main, donc !...
Toutefois, j'éprouve un penchant certain pour les instruments.
Un intérêt déjà pour l'objet en soi si l'esthétique me touche; certaines cravaches peuvent être belles, comme la tresse de certains fouets - chefs - d'œuvres artisanaux - peut forcer l'admiration.
Mon ami David, de Madrid, a un petit site où il présente ses oeuvres assez époustouflantes : ICI.
Naturellement, le bull-whip n'est pas approprié à nos jeux, sauf si on veut couper la dame en deux d'un coup de lanière, ce qui n'est pas à conseiller !... Mais quel splendide travail !...
Beaucoup plus modestement, il m'arrive
de créer des
intruments faits d'éléments hétéroclites, mais généralement très
efficaces...
Une sorte de tawse,
dédié et signé pour Arco, une amie mexicaine
aux fesses d'acier...
Présenté
obligeamment par Karen, ravie que l'engin ne lui soit pas
décerné...
Le
martinet télescopique, pour fouetter avec du recul. Comme ça, quand
le
sang gicle, on ne risque pas d'être taché.
( Mais non, je rigole ! )
Ou
encore le strap Harley-Davidson, très prisé chez mes amis d'Espagne...
J'en
ai fait pas mal, qui dorment à l'ombre du soleil Ibérique, dans un
grand sac de cuir noir.
On les sort de temps en temps, et ce n'est
pas toujours moi qui m'en sert...