Les Fessées de Maribel 15

Cela faisait fichtrement longtemps que je n'avais pas publié un épisode de la correspondance lubrique de Maribel.
Peut-être parce que je suis sensé écrire le roman qui part de cette histoire et que j'ai un peu traîné... Ou simplement -et plus probablement- parce que je me suis laissé aller à surfer sur d'autres vagues, en partie grâce à vous d'ailleurs; il est arrivé que vos réactions orientent mes choix. Ce n'est pas si simple un blog, finalement, du moins de la façon dont je l'envisage.

Mais il est trop tard ce soir -et sans intérêt- que je me répande sur les états d'âme du blogueur.
Voici une des lettres de Maribel à son correspondant (amant futur ?)  illustrée par son amant actuel...

Parfois il me faisait mettre ces pantys anciens, qui étaient comme deux bas qui arrivaient assez haut et qui étaient unis par les côtés à une petite ceinture, mais c'était des pantys qui n'avaient pas de fond ni rien sur le ventre, de plus que la ceinture. Et encore étant habillée, parfois il me faisait rester ainsi dans sa maison et même aller dans la rue et au bureau avec ces "pantys" et sans culotte. Il disait que comme ça, simplement en mettant la main en dessous de mes jupes, il pouvait avoir à sa portée mes fesses et mon sexe.

Le jour de cette photo il avait ordonné de plus que j'enlève la jupe et que je me penche en avant sur cette console. Tu vois le résultat : je ne montre pas seulement tout mon gros cul, mais on me voit d’une manière choquante les lèvres et la fente du con. Je savais bien que me mettre dans cette posture était pour me faire chauffer le cul, mais avec la honte supplémentaire de recevoir la fessée en montrant d'une manière irrévérencieuse ce que j'ai entre les jambes...

Note :

Maribel parle volontiers de son « gros cul » (culazo)… Fait-elle un complexe à ce niveau ?... Je ne le crois pas car je lui trouve un derrière bien proportionné et très attractif !... Je crois plutôt qu’elle aime à se gargariser de ces termes crus, qui doivent lui procurer un certain plaisir quand elle les écrit à Oscar…

A suivre...

Comments

[sonia]

Les fessées, ya que ça de vrai. Mon mari me frappe tous les soirs après le travail et j'aime ça. Il pourrait m'en donner plus car je les mérite avec toutes les pensées cochonnes que j'ai toute la journée. Ah Chéri, fais moi mal !

Sonia

[mike]

On peut écrire un roman à partir de n'importe quoi : Une contravention, un clavier qui perd ses touches, un bouchon de champagne et bien entendu les fesses de Maribel avec pantys fendus ou pas... On peut écrire en verlan, même en verlan Espagnol (tiens ça serait drôle ça.)Tout est une question d'inspiration et d'imagination.



Et puis, il y aura toujours Mr Waldo pour faire les illustrations, hé, hé, hé, hé !



En fait écrire un roman c'est un peu comme donner ou recevoir une fessée... Ouais, tout est une question d'inspiration et d'magination.

[Ellie]

vouiii... c'est pas bien de copier coller :(

Evidement,on ne peut pas corriger ,ici... Fffff

[waldoblogger]

C'est bien exact, mais je ne sais pas si "culazo" signifie à la lettre "gros cul", je veux dire comme nous l'envisageons en français. Il y a des subtilités vulgaires en espagnol...

Quant à vous, vous vous êtes mélangé les pinceaux dans votre, euh, introduction !...

[Ellie]

"...je ne montre pas seulement tout mon gros cul"



'Même si ce n'est pas totalement faux, ce langage ne sied pas à une jeune femme bien. On ne l' a pas élevée danje ne montre pas seulement tout mon gros culs une salle de garde, que je sache ?... A quoi ça sert que Waldo y se décarcasse pour lui enseigner les bonnes manières ?'...Heuuu, à non flûte ça marche plus...



Je ne voudrai pas casser le mythe mais des fois je me demande si Maribel n'est pas un mec... Les filles, ça les excite moyen de dire qu'elles ont un gros cul...