Les Fessées de Maribel 7

Traduction :

Cette photo que je t’ai envoyée il y a peu de temps tu me l'as rendue, avec une autre, en pensant que je désirais les conserver. Mais comme ce n’est pas le cas, je te le dis maintenant : tu peux garder mes photos si tu le désires.
Ces photos ont été faites par un ami dominant, dans la relation unique, durable, et authentique que j'ai eu en tant que femme soumise et amoureuse du spanking. Les photos étant en noir et blanc il les révélait lui même, ce qui me donnait confiance pour poser sans vêtements ou dans des postures indiscrètes. Pour les photos sur lesquelles nous sommes tous les deux, il les faisait en mettant l’appareil sur un trépied, et enclenchait le retardateur automatique pour que la photo se prît toute seule.

Tu peux me voir ici en tenue légère et avec le cul à l'air. Je venais d'enlever la jupe et la culotte, obéissant à mon ami. J’ai la tête tournée en arrière, en le regardant pour lui demander ce qu’il voulait que je fasse. Et ce qu'il m'a ordonné de faire a été de, avec les jambes bien droites, penchée en avant,  de poser mes mains sur le siège du canapé. Et que je reste ainsi, avec le cul bien bombé et bien relevé, parce qu’il allait me le mettre bien coloré avec une bonne fessée, comme aux mauvaises petites filles.

Par mon attitude sur la photo et ma tête tournée en arrière, on peut deviner que je ressens de la honte et de la peur en même temps. Ce que l'on ne peut pas deviner c’est que cette honte et cette peur et ces préparatifs avaient déjà stimulé mon érotisme, et que j’était nerveuse et excitée devant ce qui m’attendait…

Note :

Les documents que je vous présente sont dans le désordre, et je découvre les choses au fur et à mesure des traductions.

Il semble ici qu’il s’agisse d’une de premières photos que Maribel envoie à son correspondant, puisqu’elle parle de son « ami dominant » - qu’elle ne nomme pas encore Friedrich -, et lui signale qu’il n’est pas obligé de lui retourner les images. Celles-ci ne doivent exister qu’en deux exemplaires : un pour elle, et forcément un pour son spanker. Toutefois, dans l’avenir, elle va récupérer les photos puisque c’est ainsi qu’elles vont arriver jusqu’à mon ami Xesc, puis à moi, et par la même, jusqu’à vous qui me lisez…

Maribel évoque aussi l’aspect technique des prises de vues au déclencheur automatique pour les images où l’on peut voir Friedrich en action… Je précise pour ceux qui ne connaissent que les modernes appareils numériques sur lesquels le retardateur ne laisse que dix petites secondes, qu’il existait dans les années soixante des déclencheurs qui pouvaient nettement dépasser cette durée.
Cela permettait alors de prendre la position voulue sans trop de précipitation…
Sinon ça relèverait du numéro de cirque !
Nous avons déjà parlé sur ces pages de ces détails techniques.

A suivre…

Comments

[elmismodeantes]

La correspondencia privada no se puede publicar en internet. Cuando estas cartas se escribieron hace años no existía Internet. No se puede publicar algo de una persona que no lo autorizó jamás y que ni sabe que se han vertido en Internet. Son cartas privadas y publicarlas sin su permiso me parece intolerable.

[waldoblogger]

Les photos et textes m'ont été confiés par un correspondant de Maribel, avec son accord, il y a de nombreuses années.

Ces photos et textes ont été déjà publiés sur le club du site "Azotainas Eroticas" en 2006.

Maribel a envoyé ces textes et ces photos à plusieurs personnes, et ça ne la dérangeait pas, au contraire, que beaucoup de gens puissent les voir.

Pourriez-vous me dire en quoi cela vous concerne ?

[Yomismo]

Y estas fotos de una correspondencia privada por correo postal ¿Tienes permiso de Maribel para piblicarlas en este blog????

[Lilou]

Me voilà de retour de vacances et pour mon plus grand plaisir je redécouvre les Délicieuses "Aventures" de Maribel.

Merci! Waldo.