La Fessée de Claudette
Un petit post pour vous rassurer : non, les Talibans ne m'ont pas enlevé dans le Thalys Paris Bruxelles, mais je suis un peu occupé ces temps-ci.
Figurez-vous que j'ai dû, juste avant mon départ, recadrer deux ( délicieuses ) chipies en même temps, qui conjuguaient admirablement leurs capacités de nuisances à mon égard, et ce fut assez épique !...
La première était arrivée la veille, remontée comme un coucou suisse mais j'ai l'habitude, et j'ai maîtrisé sans peine la situation, badine au poing. Le lendemain, le seconde nous a rejoint, et elles se sont remarquablement entendues pour tenter de me rendre la vie difficile.
Force est restée à l'autorité, mais je vous jure qu'il faut avoir des nerfs d'acier, veiller à tout, et ne pas ménager son bras !... J'aurais apprécié, à certains moments, l'aide d'un vigoureux et sévère camarade mais non, j'étais seul, il fallait faire front. "Père, gardez-vous à droite; père, gardez-vous à gauche !" Comme disait le fils de Jean le Bon à la bataille de Poitiers en 1356.
A part ça, je travaille à un roman qui accompagnera les "Fessées de Maribel",- je vous en avais touché un mot voici quelques temps - et je dois livrer les trois premiers chapitres à mon éditeur pour avoir le feu vert...
Pas question, naturellement, de délaisser le blog, mais il peut y avoir de temps en temps un manque d'assiduité.
Pour vous faire patienter, voici une belle photo que m'a envoyée une des deux chipies citées plus haut, ce qui prouve qu'elle a un bon fond, malgré tout... ( Et un joli fond aussi ).
Il s'agit du beau Gary Cooper, dans "La Huitième Femme de Barbe Bleue", une comédie de l'immortel Ernst Lubitsch en 1938. Elle n'est pas déculottée, Claudette Colbert, mais vous avez vu les mains qu'il avait, Gary ?... Ca devait se sentir même à travers la robe !...