Interlude
Un billet assez bateau que voilà, diront les difficiles ( même pas "Petit Bateau" ah ! ah ! ah ! ) mais ça fait un moment que je n'ai pas posté et ce n'est pas bon de laisser la scène vide trop longtemps.
Et puis, je ne peux pas toujours alimenter le blog avec mes productions, et il y a des choses qui m'amusent, m'émeuvent, ou m'intéressent dans ce que je vois sur la toile, et il est logique que je vous en fasse profiter.
J'ai d'autres sujets dont je dois vous parler, d'autres images à vous montrer, mais le plus "sérieux" demande aussi plus de concentration donc plus de temps, et je suis un peu dispersé en ce moment. Je dois retourner à Bruxelles très bientôt, j'ai encore un bouquin à écrire pour "La Musardine", j'ai encore des gens à voir, et quelques punitions à administrer avant de partir...
Donc allons-y, place aux images !...
Cette photo me plaît beaucoup, malgré mon aversion marquée et bien connue pour les strings. Mais la transparence, le cul offert sous le prétexte classique de rajuster la bride de la chaussure, bref, une parfaite démonstration d'exhibitionnisme discret qui m'a séduit.
Le cadre pur Sud, avec ses pierres ocres et ses ruelles odorantes, forment une ambiance qui ajoute un plus pour m'attirer...
Nettement moins au Sud - à moins qu'il ne s'agisse du Sud de l'Angleterre - cette jeune personne arpente le gazon, jupette mi-retroussée, sage et blanche culotte froissée juste sous la pliure des fesses. L'ombre ne permet pas de voir si sa croupe est rosie, ou si c'est ce qui va lui arriver, là-bas, derrière les fenêtres blanches de ce cottage cossu...
J'aime bien quand les images se prètent à interprétations.
Puisqu'on est dans l'exhibe, allons-y gaiement !... Là, pas de faux-semblants : la cycliste soulève sa jupe ( sur les injonctions de son petit ami qui tient le compact ) pour nous montrer sa croupe pâle, une fois de plus tranchée verticalement par un string...
Un jour quand je serai grand, je serai dictateur, et j'interdirai le port de cette fausse culotte sous peine de fessée en place publique. Parfaitement.
Restons dans la bicyclette qui, finalement, va plutôt bien au teint de certaines demoiselles, même que j'en connais en vrai...
...Des qui pédalent alertement, les fesses rouges et brûlantes sous la jupette, avec ou sans culotte, selon que je l'ai confisquée ou non...
Toutefois, la photo ci-dessus ne me comble pas, même si elle illustre -très relativement mon propos. D'abord, ces fesses roses ne le doivent-elles pas au maquillage ?... Et puis, à part le string, si quelque chose m'insupporte, c'est bien le tatouage !... Oh, pas le petit coeur sur l'épaule, ou le papillon au-dessus de l'aine ou l'inverse; j'admets aussi les trois points à la base du pouce pour les petites qui ont du vécu; mais le gros motif, celui qui occupe les trois-quarts des lombes de la demoiselle, qu'elles ne peuvent même pas voir autrement que dans un jeu de miroirs, je ne comprends pas, et ça me rebute carrément.
Allez, je chasse mon naturel, ça va lui permettre de revenir au galop, comme la marée à l'assaut du Mont-Saint-Michel !...
Je me demande ce qui me touche le plus dans cette scène de bondage - car elle me touche. La rèche corde de jute, bien serrée, qui pénètre la chatte et le sillon culier ?... La culotte qui n'occupe plus qu'une seule jambe ?... L'expression de la fille, à la fois soumise, ennuyée, voire provocante ?... L'ensemble, probablement.
Mmmh... Que dire ?... Du shibari plutôt soigné, une vraie recherche esthétique - lumière, pose - et deux poupées de chair incontestablement attrayantes qui se sont prêtées au jeu...
La fille vient d'être fessée, avant le déjeuner. Le monsieur aux cheveux gris l'a mise au coin. Le cul pas trop rouge. Si je m'en étais chargé... L'autre nénette semble se divertir de la situation. Ca se comprend.
Je n'aime pas particulièrement cette photo, esthétiquement nulle. Froide même, dirais-je. Elle m'a attiré l'oeil pour la situation qu'elle représente, qui m'a aussi rappelé des souvenirs... Et des souvenirs futurs, why not ?...
Allez, la prochaine fois...
Vou verrez bien.