Revoilà du Crobard...

Vu que le post précédent ne se prête pas vraiment à l'illustration et que, généralement, vous fréquentez cet endroit déréférencé pour les images, je vous cale quelques nouveaux crobards inédits qui dorment (d'un oeil) dans les boites noires de Fabrizio.

J'ai peu de choses à en dire. Rien du tout, même !... Ce sont des dessins préparatoires pour mes illustrations publiées, ou des loupés. 

 Un principe que j'ai retenu : Le grand peintre Louis David dessinait nus les personnages de ses tableaux, et les habillait ensuite. Les plis et drapés des tissus sont bien plus réalistes avec cette technique.

 Ah, merdalors !... Mais ce dessin est parfaitement pornographique !... L'ami gougueule avait raison, c'est la porte ouverte à tous les dangers !...

Ou un projet personnel pas vraiment abouti, comme celui-ci, que j'aime bien quand même.

Enfin voilà.

Comments

[__Fraise__]

La fille de la dernière image a un regard... subjuguant !

[Emma]

j'adore votre coup de crayon , incisif et élégant, toujours juste et tellement évocateur... :) :D

[Manioc]

J'aime beaucoup la douceur du 6° dessin.

Et le 5° m'a fait penser au dessinateur Angio que vous connaissez peut-être. Evidemment je ne l'ai pas trouvé sur gougueule mais, au fil de mes lectures de récits illustrés, j'ai gardé plusieurs dessins de lui dans un fichier dûment protégé.

[waldoblogger]

Aaah... Pas mal !...

Je l'ai déjà raconté, mais les illustrations que je faisais pour les revues auxquelles je travaillais à l'époque étaient libres, et les rédacteurs s'en servaient pour écrire leurs nouvelles. Ce qui fait que j'étais le scénariste caché de leurs écrits...

C'était toujours intéressant pour moi de voir ce que leur avait inspiré mes dessins.



Quatorze ans plus tard, ça marche encore, et vous me faites ce plaisir !...

[Desdemone]

Moi j'aime le cinquième. Le visage de la fille au plaisir difficile est extra, ses mains et celles du gars sont magnifiquement rendues. L'expression de la copine qui a gardé ses vêtements est un mélange de curiosité, d'étonnement et de volontarisme aussi. En fait elle n'est pas la copine de la fille qui se fait enfiler, c'est une vieille amie du gars. Elle a joué le rôle de la fille complice pour aider son pote à tirer la mijaurée. C'est elle qui a relevé la jupe de la fille, qui lui a parlé à l'oreille genre "c'est pour rire, on s'amuse à le faire bander". La mijaurée essaie de partir, elle a les deux mains à côté du mec pour prendre appui et s'en aller, mais l'autre la maintient par les épaules et l'empêche de partir en vérifiant que ça rentre bien.